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Japon - Tokyo

Le long de la route qui va à Tokyo, un sculpteur de divinités Ce grand et haut Pas évident de savoir que l'on est à Tokyo. Depuis Yokohama, toutes les villes se touchent... et se ressemblent. Le train, le métro, des routes, tout un enchevêtrement Mais toujours de la verdure. Par le point GPS de leur appartement, on tombe précisemment sur Marie-Cécile et Bernard. Chez Marie-Cécile et Bernard, de l'art traditionnel japonais, en papier. Ici des figurines du jour de l'an. Tokyo, ses buildings La pub omniprésente Quelques mêtres carrés de cuisine, petits restaus du midi où les japonais mangent en trois minutes avec beaucoup de bruits de bouche... Ces petits restaus sont accessibles au milieu des buildings par ces Les emplois de proximité existent à Tokyo Les manifestations aussi... Tiens, une autre manif ? non, le coin fumeurs. Car à tokyo, il est interdit de fumer dans la rue.Une signalétique au sol le rappelle. Parc Shinjuku-Goen : des carpes énormes... des tortues, un temple, des sculptures et au détour d'un chemin, un peintre, au calme, reproduisant le tronc tortueux d'un arbre Tokyo, temple de Miji-jingu. A l'entrée, la représentation de tous les généreux donateurs Japonais... Mais aussi des donateurs français (qui sont tous des grand crus bordelais...) Saison des iris, Si, si, ce monsieur, au milieu des fleurs, les compte. Y'a pire comme boulôt ! 
Remarquez à sa ceinture, un anti-moustiques... Un système ingénieux irrigue constamment ces iris d'eau. Les japonais peuvent contempler pendant des heures les fleurs et les arbres. Temple Miji-jingu A l'entrée du temple, chacun peut déposer un voeu personnel Sortie de l'école, tenue réglementaire. Quartier Omotesando. Ce quartier détonne, magasins un peu délirants... magasin de vêtements pour chiens, ateliers et expos ... et poubelles d'un autre genre. Voilà, nos chers attelages sont bien à l'abri dans les entrepots de notre transporteur maritime. C'est la mort dans l'âme que nous les abandonnons mais quand même rassurés que ce soit ce monsieur qui les prenent en charge.
Heureux de vous présenter Kazuhiro Hayashi, le Sea Export manager de chez SDV. Son efficacité n'a d'égale que sa gentillesse et le coeur qu'il met dans son travail.
Holigato Hayashi san ! Après livraison des side-car à l'autre bout de Tokyo, retour en métro chez Marie Cécile et Bernard. On ne s'est même pas trompés, ni perdus... Et ça le fait sourire... Un petit temple de quartier... avec son petit jardin... Dame Marie-Cécile goûte un repos bien mérité avec Vendredi, après une sénce de métro en direction du nord-est de l'agglomération, nous partons déambuler dans Tokyo. Ici une Tenue scolaire depuis le plus jeune âge... Le temple... (désolé son nom m'échappe) De loin, j'avais pensé à une espadrille mais il s'agit de celle d'un géant alors car elle fait plus de deux mètres... Il est pas beau mon lampion ? ou ma mongolfière... La fontaine à encens. Pour 100 yens (1$ ou 0,60 euro), vous achetez un pétard d'encens (si, si, ça y ressemble sauf que ça n'explose pas). Vous l'allumez et le placez dans le gros bidon prévu à cet effet et vous vous enfumez en agitant les bras pour attirer la fumée vers vous. C'est comme une bénédiction mais à la fumée... Après la fumée, vous avez l'eau pour vous bénir.
La maison fournit de petites casseroles à long manche bien pratiques. Vous pouvez soit vous arrosez les mains ou le visage, soit carrément boire un coup. Mais ça, ce doit être pour les gros péchés... N'empêche que les col de cygne distribuant l'eau sacrée sont extrêmement bien ouvragés. Tout autour du temple un jardin de sanctuaires... La carpe est bien repésentative de l'esprit japonais. Le grand nombre ne la dérange pas et la tranquillité de sa nage est le parfait reflet de la vie à Tokyo... Incroyable mais vrai !  Une ville d'une propreté exemplaire, quasi silencieuse sans personne de stressé... Va savoir pourquoi elle est habillée, celle-là de statue ??? Ce monsieur sortant du temple est encore en train de négocier quelque chose avec son dieu. Mais à quoi peut-bien servir cette jarre vide à toiture ??? Peut-être à la même chose que celle-là... Et en pleine ville, toujours des espaces verts propres, parfaitement taillés et magnifiques. Faut dire que les variétés végétales dont ils disposent s'y prêtent à merveille... Tiens une mini-fête foraine dans une cour, dans un renfoncement d'une ruelle commerçante, enfin, nulle part mais qui existe pourtant bel et bien. Des faux ninjas... pour aguicher le passant et l'attirer vers la fête foraine. et des vraies jeunes filles japonaises comme sorties d'un manga... ...non pas déguisées, habillées comme cela just for fun ! Au dessus de nous, ces trois masques surveillent, d'une manière fort bienveillante, notre halte déjeunatoire de la mi-journée. Qui veut voir ma collection d'estampes japonaises ? Non, non, rassurez-vous, il n'y en a qu'une... Voici une Pachinka, salle de jeux consacrée aux machines à sous. Le tout dans une musique assourdissante. C'est vraiment infernal... Si la middle-class représente 80% de la population japonaise, les riches japonais 10%, il reste encore 10% de la population qui survit de petits métiers la plupart payés à la journée.
Ici, même les SDF rencontrés sous les ponts sont propres et leur coin rangé nickel. Normal, malgré leur condition, ils sont avant tout japonais. Jamais de voitures garées dans les rues. La raison en est simple, quand vous achetez une voiture, une loi vous oblige à justifier de la possession d'un garage ou d'une place de parking. Avantages frappants, aucune pollution visuelle en ville, génération d'un business et aussi du travail pour fabriquer des automates qui stockent les voitures en hauteur pour gagner le maximum de place. Les automates japonais, en voici une petite collection. Omniprésents, d'une voie féminine, ils parlent quasiment tous et finissent par vous soûler...
Néanmoins, après réflexion sur la chose, les japonais, par le biais de cette industrie de l'automate, ont généré un très grand nombe d'emploi, ne serait-ce que pour la fabrication et la maintenance. Et suprême raffinement, au lieu de mettre les hommes au chômage, ils ont confié à ceux-ci le contact humain nécessaire au service d'accueil de renseignement, de soutien.
En tous lieux au Japon, dans toutes les entreprises, dans le métro, de la plus petite épicerie au plus grand hôtel, vous trouvez pléthore d'employés pour vous recevoir, vous aider et vous sourire...
Ils ont tout compris !!! Par exmple, de flic à moto a pris au moins 5 à 6 mn (c'est le temps qu'il m'a fallu pour réussir une photo sans véhicule entre eux et moi) juste pour expliquer sa route à ce jeune homme...
Et tant qu'on parle de motos... Voici le genre de délire que se construisent les japonais et pour pas cher car les motos d'occasion un peu anciennes (telles ce 6 cylindres kawa liquide) ne valent ici quasiment rien.
Le plus cher à mon avis est dans les jantes et les pneus AR.
L'engin paraît confortable même si on peut douter quelque peu de sa stabilité en virage... Pour les amoureux de vieux gromonos, voilà un modèle Kawazaki totalement inconnu sous nos latitudes mais néanmoins de fort belle facture ! Le clou de notre collection reste néanmoins ce magnifique 900 SS dans un état plus que parfait et pourtant, il date de quand j'étais chevelu, jeune et beau.
Nous n'avons pas rencontré son propriétaire mais sommes certains qu'il s'agit d'un vrai amoureux de la firme bolognaise fabricant les plus belles motos du monde !!!
N'en déplaise à certains... Par son comportement, cet oiseau rappelle vraiment le merle de nos contrées. Cet édifice noir est une brasserie Après le métro, le side-car, le taxi, nous prenons le bateau pour rallier le centre-sud de la ville. Voir une ville d'un cours d'eau en change toujours sa perception. Notez la belle collection de couvre-chefs dont trois des Passagers du Monde se sont portés acquéreurs... Et à Tokyo, il y a des ponts bleus... ...et jaunes... Même les samouraïs se mettent à faire de la pub pour Caca Collé, mais où va-t-on ma bonne dame ? Tel le vieux loup de mer voyant s'éloigner pour la dernière fois son navire avec lequel il a bourlingué sur toutes les mers du monde, Alain contemple... ...ce magnifique quatre mâts amarré dans l'estuaire en quasi-pleine ville. Voici une petite collection de buidings... On commence par ceux-là situés sur une île au mlieu de l'estuaire. J'adore cette photo... d'un immeuble qui se reflète dans l'eau qui se reflète dans un autre immeuble, vitré celui-là... Et puis tout là-haut, posé sur le toit... ...un pianiste géant en costume bleu ! Si les architectes urbanistes cherchent des idées de jardins pour jeux d'enfants, en voilà une excellente... un vrai bateau pirate pour jouer !!! De quoi vraiment vous faire regretter de vieillir, non ? Dramatic Communication, c'est l'état du téléphone GSM d'Alain qui, malgré toutes nos tentatives de réglages divers et variés, a refusé de fonctionner en terre japonaise.
Bon, plus sérieusement, cette société doit s'occuper du réseau de communication (téléphone et données) en cas de séisme ou autre catastrophe naturelle... Quand vous les regardez de bas en haut, ces immeubles vous font tourner la tête et perdre l'équilibre. Le haut de celui-ci m'a fait penser à un jouet robot et j'ai attendu un moment pour voir s'il se transformait mais finalement, non, il est resté immuable. Tu m'a déçu, Albator !!! 17h, le soleil se couche de bonne heure en haut des gratte-ciels... Le même vu d'en bas... A côté des imeubles de Tokyo, les quartiers de la Défense à Paris ou la Part-Dieu à Lyon semblent de simples petits lotissements de village. Mais néanmoins, si chez nous, nous avons Astérix et Obélix, ici ils ont Ping et Pong et leur petit village qui résiste au beau milieu de tous ces buildings... Anachronique et attendrissant. Une pensée pour Yves en étant survolé par le moteur linéaire du train urbain de Tokyo... Le voici vu d'en haut depuis la gare dont nous allons partir. Le restaurant de notre dernière soirée à Tokyo.
Mazz, merci de confirmer qu'il s'agit bien de celui qui a servi au décor de Kill Bill de Tarentino... Assez bruyant mais surtout vivant, ici la cuisine se fait en pleine salle... Enfin, depuis 2 mois et demi, après avoir parcouru plus de 18 000 km, la voilà, notre première vraie grillade d'agneau. Je m'en lêche encore les babines... Maître Bernard, en ce matin, quelque peu fatigué... Pendant qu'on se régalait avec Dame Marie Cécile, hier soir au restaurant, il a été retenu jusqu'à 3h du matin par une grosse galère à son boulot. Désolé Bernard que tu n'es pu être des nôtres hier soir mais t'es quand même bien beau dans ton jimbé...
Mille merci à vous deux les Bastide de Beyssac pour votre hébergement et votre patience à nous supporter durant notre séjour Tokyoïte... Dernier jour au Japon, nous partons pour l'aéroport à 14h et nous constatons que les fleurs de lotus sont vraiment toujours aussi belles... ...pour ne pas dire magnifiques ! La famille Bastide de Beyssac presque au grand complet, manque à l'appel Guillaume, leur grand garçon en stage au nord du Japon.
De gauche à droite : La très belle Maud, le sieur Bernard imperturbable mais toujours très attentif à sa tribu, Margot vivement que l'adolescence se termine, Claire sa copine, l'inénarrable artiste Marie-Cécile et devant petit Jean, cycliste émérite et gaganis de la bande...
Merci à vous tous de tout coeur. On vous embrasse !!!






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