L'Ukraine des plaines

1er mai 2008

Par Pascale

Changement de décor, changement d’ambiance.
Premières impressions mitigées : il n’y a pas que le climat qui est froid.
Certes, la barrière de la langue ne nous aide pas, mais les gens sont fermés et détournent la tête quand nous leur parlons.
Seul, le prix de l’essence 0,52 euros nous réconcilie avec le pays. 
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Odessa, un nom qui fait rêver…
Cette ville a été notre cauchemar : toujours ces bâtiments sordides, une circulation plus qu’intense et aucun panneau.
Fuir cette ville au plus vite.
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La police est présente partout : en deux jours nous sous sommes faits arrêter trois fois, à chaque fois, les policiers voulaient de l’argent. En demandant à voir leur « big chief », ils nous laissent partir.
Puis arrivés à Mikolaijv, notre perception de l’Ukraine change. Nous rencontrons dans cette ville, deux Dimitri, Julia et quelques autres.
D’abord intrigués par les sides, ils nous guident rapidement dans leur ville, nous rejoignent pour le repas et nous donnent rendez-vous pour le lendemain matin. Ils arrivent avec des cadeaux (des œufs de Pâques décorés pour Pascale et une petite moto pour Alain)
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Quelques centaines de kilometres de plaine (Colza et blé) plus tard, nous arrivons à la mer d’Azou, où le maire du petit village de pécheurs nous propose de camper dans sa colonie de vacances.
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Le matin, devant nos tentes, des fleurs coupées et une marmite de poissons pour le petit déjeuner.
Il nous aura fallu quelques jours pour rencontrer les ukrainiens.

 

Dernière mise à jour : ( 01-05-2008 )