| 22-23 août Par Pascale Dans ma tête, ce pays n'était pas fréquentable (un passé proche, bien tumultueux entre révolutions et dictatures). Comme quoi, les idées reçues... Immédiatement, je ressens un attrait pour le Nicaragua. Les douaniers sont super sympas, en 1 heure tout est bouclé pour 14 dollars. La route pour Granada se fait dans des odeurs de plantation de café. Sur cette route, pas grand monde, du moins à moteur. Beaucoup de vaches, de chevaux...de cavaliers. Paradoxe d'un pays où les richesses sont totalement inégales, nous voyons des gens se déplacer en charrettes tirées par des chevaux, se faisant doubler par des voitures customisées. Malgré la pauvreté du pays, bien souvent la propreté est là, contrairement au Honduras. Granada une ville coloniale colorée où le rocking-chair et le hamac sont rois. |
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| Nous trouvons une petite auberge au bord du lac Nicaragua à Granada « El maltese », avec un nom comme cela, arrêt obligatoire. Un portrait géant de Corto Maltese nous accueille. Maria, la gérante est plus que sympa. Elle connaît son pays par cœur et regrette que le gouvernement ne favorise et n'investisse pas plus dans le tourisme. |
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| En parlant de gouvernement, Daniel Ortega, le Président actuel, fait sa propagande sur des affiches : le point levé, slogans : « le peuple président « et « levez vous les pauvres du monde « , il signe de son prénom. J'ai imaginé un instant la même affiche signée de Nicolas... |
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